Bien que très exposé aux critiques liées à sa forte contribution aux émissions de gaz à effet de serre, le secteur du transport/tourisme réussit à se placer en 4ème position du Top 50 SLOE. D’une part, parce qu’il est tiré vers le haut par les deux opérateurs publics (SNCF et RATP en 11ème et 12ème positions), auxquels les Français reconnaissent de rendre un vrai service d’intérêt général (transports collectifs en alternative aux transports individuels plus polluants et souvent plus coûteux). D’autre part, sans doute, parce que ce secteur est lié à un capital sympathie (liberté de déplacement, vacances).

En revanche, Uber dégrade la note moyenne du secteur, ce qui reflète la schizophrénie de ses utilisateurs, qui sont ravis de faire appel à ses services, mais restent critiques sur les dérives sociales de cette entreprise, les dernières révélations sur les agressions dont certaines clientes ont été victimes par les chauffeurs risquant d’aggraver encore sa réputation sociétale.

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